Chez Faïza Guène, la famille est une porte d’entrée. Elle dévoile les interactions entre le particulier (toujours divers) et le collectif (jamais univoque). Les Taleb forment une famille française pure sucre, comme dans les romans de Sabri Louatah par exemple. Enfin presque, car il y a du chemin pour faire entrer cette vérité dans les têtes, pour que « les choses soient plus simples » et que cela soit « plus clair pour tout le monde ».